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La Maladie de Sziniarsky

 

Sziniarsky.jpgJe fais partie d’une association sympathique, «Marseille Autrement»1, qui propose des visites, des randonnées et diverses activités culturelles, touristiques et amicales.

Récemment, il y avait un « gouter » chez un écrivain ami (Alain Seyfried) qui proposait de parler de son dernier livre autoédité (La Maladie de Sziniarsky) et aussi, plus généralement, de la genèse d’un ouvrage et des relations avec les éditeurs et leurs métiers. Il faut savoir par exemple que seulement 0,5% des manuscrits sont retenus !

Bref, je m’étais inscrit pour le premier « gouter » mais c’était complet et la maison d’Alain, magnifiquement située dans le quartier du Roucas Blanc, est petite. Je me suis donc inscrit pour le second « gouter », environ deux semaines plus tard. Entre temps, j’ai trouvé commandé et reçu le livre sur Amazon (que les libraires me le pardonnent !). Je l’ai lu quasiment d’un trait, c’est un pseudo « thriller », ainsi je n’en dévoilerais pas plus mais c’est agréable à lire et je le recommande.

Au second « gouter », j’ai du me taire pour ne pas dévoiler l’intrigue mais j’ai apprécié l’exposé d’Alain sur les sujets prévus et j’ai appris des choses.

Quelques livres plus anciens d’Alain ont été édités et le prochain le sera aussi.

Bonne lecture et soyez vigilants sur le net ou dans les librairies sur le nom de l’écrivain !

Commentaires

  • Également adhérent à Marseille autrement, je profite de la veille qu'effectue notre association sur des conférences et visites organisées pertinentes : CNRS, découvertes et interprétations en archéologie, faits historiques, savoir-faire artisanal et même engagements d'élus au pouvoir ; mais j'ai renoncé à aller écouter les élucubrations sur la maladie de Sziniarsky. J'ai trop de lacunes de connaissances à remplir et je suis trop sceptique pour prendre du temps pour l'imaginaire. Pour la découverte facile de certains domaines scientifiques, de mœurs juridiques ou politiques américaines et de leurs risques de dérives, je recommande les thrillers de Michael CRICHTON, hélas décédé en 2008, et qui comportent jusqu'à des dizaines de pages de références bibliographies d'ouvrages scientifiques à la base de ses romans.

    Écrit par : bertrand | 12 mars 2013

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