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LEV - Page 10

  • Classes préparatoires

    41Ibo3KyzKL._SL500_AA300_.jpgJ'ai lu ce roman avec intérêt, il raconte la vie dans une classe de Mathématiques Supérieures au Lycée Louis le Grand, sans doute à la fin des années 1990.

    Globalement le livre présente plutôt cette période comme une sorte de "galère" comme c'est l'usage, malgré quelques moments agréables avec les mathématiques mais aussi les filles qui étaient principalement en Lettres Supérieures.

    C'est bien écrit et agréable à lire.

    Mon intérêt pour ce roman a été d'autant plus grand que j'ai moi-même fréquenté les classes préparatoires scientifiques de Louis le Grand mais dans les années 1960 !

    Il y a des choses qui ont changé depuis mon expérience et des constantes que j'ai retrouvées.

    Finalement, j'ai décidé de témoigner et de montrer que, pour ce me concerne, ce n'était pas une "galère", au contraire.

    Mais mon témoignage est trop long pour figurer sur un blog. Il est accessible à l'adresse suivante :

    https://dl.dropboxusercontent.com/u/55060214/Trois%20ans%20de%20bonheur%20VF.pdf

    Comme il fait 28 pages, je conseille de l'imprimer pour le lire.

    Bonnes lectures !

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  • Séries TV

    glenclose-damages-ijustine1.jpg


    Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte…
    Non, ça c’est du Marcel Proust !
    Longtemps, je n’ai pas aimé les séries TV en général et les séries américaines en particulier. D’abord les séries étaient diffusées à jours et heures fixes et je regarde très peu la télévision en direct et en tout cas jamais à jours et heures fixes. Ensuite, les séries américaines sont le plus souvent diffusées en version française et les doublages sont consternants. Enfin, pour les série policières ou juridico policières, je n’y comprenais rien car le système juridique anglo-saxon m’était étranger.
    À l’occasion d’un long séjour à l’hôpital, je n’avais que cela à me mettre sous la dent : j’ai regardé la série « Damages » en version doublée (pas si mal). Un ami d’enfance qui a vécu et travaillé outre-Atlantique m’a initié aux arcanes de la justice US et ma prêté "Boston Legal", alors, j’ai commencé à y comprendre quelque chose. La lecture de nombreux policiers de Michael Connelly m’a également aidé.
    Cette série a aussi le mérite de mettre en cause le modèle nord-américain et de montrer les ravages de l’ultra néo conservatisme, ce qui me va bien.
    Mais ce qui m’a le plus facilité le changement ce sont les nouvelles formes de consommation télévisuelles qui m’affranchissent des programmes tout prêts : grâce aux « replays », DVD, etc.
    Ainsi, j’ai acheté les saisons de « Damages » en DVD et j’ai pu les regarder à ma guise et en version originale ; et là cela devient excellent. J’en ai vu d’autres, y compris de la science fiction partisane (Battlestar GALACTICA)…
     La qualité des séries américaines me semble bien meilleure (et plus engagée) que celle des actuels « blockbusters » d’Hollywood (où cependant les séries sont aussi réalisées).
    J’ai récemment été conforté dans mon changement en regardant sur le ouèbe une interview de Martin Winkler, médecin, écrivain et fanatique des séries anglo-saxonnes. Il nous a montré, à partir d’exemples en VF puis en VO, comment, au doublage, les chaines censuraient les séries à travers les dialogues voire en coupant de larges passages jugés « pas corrects ».
    Je vous engage à faire le pas si cela n’est pas déjà fait !

    MISE EN GARDE : afin de conserver le rythme et d'éviter l'effet indésirable du produit -l'addiction- je conseille de ne regarder qu'un épisode par jour car ce n'est pas fait pour tout voir d'un seul coup

  • La Maladie de Sziniarsky

     

    Sziniarsky.jpgJe fais partie d’une association sympathique, «Marseille Autrement»1, qui propose des visites, des randonnées et diverses activités culturelles, touristiques et amicales.

    Récemment, il y avait un « gouter » chez un écrivain ami (Alain Seyfried) qui proposait de parler de son dernier livre autoédité (La Maladie de Sziniarsky) et aussi, plus généralement, de la genèse d’un ouvrage et des relations avec les éditeurs et leurs métiers. Il faut savoir par exemple que seulement 0,5% des manuscrits sont retenus !

    Bref, je m’étais inscrit pour le premier « gouter » mais c’était complet et la maison d’Alain, magnifiquement située dans le quartier du Roucas Blanc, est petite. Je me suis donc inscrit pour le second « gouter », environ deux semaines plus tard. Entre temps, j’ai trouvé commandé et reçu le livre sur Amazon (que les libraires me le pardonnent !). Je l’ai lu quasiment d’un trait, c’est un pseudo « thriller », ainsi je n’en dévoilerais pas plus mais c’est agréable à lire et je le recommande.

    Au second « gouter », j’ai du me taire pour ne pas dévoiler l’intrigue mais j’ai apprécié l’exposé d’Alain sur les sujets prévus et j’ai appris des choses.

    Quelques livres plus anciens d’Alain ont été édités et le prochain le sera aussi.

    Bonne lecture et soyez vigilants sur le net ou dans les librairies sur le nom de l’écrivain !